Et si c'était elle ?

Et si c'était elle, la future candidate française à la présidence de l'Union Européenne ?

Son intervention du début de semaine à l'Assemblée Nationale a marqué un tournant dans sa carrière. Si son ascension avait jusqu'à présent été le fait de ses relations (de ses amitiés, de ses amours…), elle a pris son envol politique mardi devant les députés. Cette dernière sortie lui a permis de montrer l'ampleur de ses qualités. Sa prestation fut si époustouflante qu'elle lui a donné une stature internationale saluée par la presse internationale.
Elle a été capable d'analyser avec beaucoup de justesse 30 ans d'évolution de la société française pour désigner les responsables et coupables du désastre : les socialistes.
Merci, Madame Dati, de dire tout haut ce que nous tous, au comité Désir de Revanche, pensons tout bas, avec discrétion et retenue. Ces derniers jours, vous avez fait montre d'un grand sens politique, d'abord en soutenant le juge qui avait tranché (et ce, avec de vrais arguments de type "tout le monde était d'accord"), puis avez donné mardi instruction au parquet général de faire appel. après avoir constaté un certain tollé.
L'année prochaine, à l'issue des élections européennes, le président de l'Union Européenne sera désigné. La candidature de Rachida Dati doit être au plus tôt soutenue. Avec un tel leader, talentueux, travailleur, serein, combattif, consensuel, l'UE ira dans le bon sens.